Anti-Proloque

L'histoire se déroule quelques temps aprés l'ascension de Sacrieur au Panthéon, aprés que les disciples des onze autres dieux et déesses aient découvert l'utilité formidable de cette déesse.
En effet, tout le monde adorait Sacrieur :
Les disciples de Iop revenaient de guerre pleins de blessures impressionnantes mais sans avoir agoniser de longue heures sur le champ de bataille. Ceux d’Ecaflip étaient sur de ne pas souffrir des situations perilleuses dans lesquelles ils se fourraient, les tas d’os de Sram n’avait méme plus a user de leur légendaire discrétion pour éviter les coups et les plus heureux étaient sans doutes les Pandawas qui ne souffraient plus d’aucune gueule de bois, ni de maux de ventres suite à leurs beuveries ; Sacrieur absorbait tous les maux de la Terre sans rechigner, et tous ses disciples agissaient de mêmes.

Tous ? Non, à travers le monde des douzes certains commençait à se lasser de subir toutes les douleurs du monde, d’autant plus que depuis l’arrivé de Sacrieur les guerres, les assassinats, les massacres et mêmes les bagarres d’ivrogne avait redoublé d’intensité, personne ne souffrant plus ; les belligérants en profitait pour se foutre doublement sur la tronche.
Las donc, et écœuré aussi un peu de voir comment les bonnes intention de leur déesse avaient été dévié de leur but premiers pour permettre a une bande d’assassins psychotique d’assouvir leurs penchants meurtriers sans avoir à en subir les désagréments, une communauté s’exila, se coupa du monde pour vivre et souffrir uniquement pour eux.

C’est là que naquit Anti, on lui appris a travailler la terre, a dresser des bêtes, et surtout à vivre ses souffrances et pas celles des autres.

Rapide et agile comme il l’était il devint un des meilleurs pour rattraper les tofus qui s’échappaient de leurs cages.
Ce fut a la fin d’une journée qu’il avait passé dans les montagnes proches de son village a poursuivre de la volaille que ça arriva.
Déjà sur le chemin il eu un mauvais pressentiment, des fumés noires s’élevaient de l’emplacement de son village, et il sentait en lui des sensations étranges, il entendait des cris étouffé qui résonnaient dans son crane.
Il se mit a courir vers son village et c’est en arrivant qu’il se rendit compte de ce qu’il se passait.
Des soldats juché sur d’imposantes dragodindes détruisaient tous, abattait les habitants qui essayez de résister et poursuivaient les fuyards en lançant des cris incompréhensibles telles que « holole noube » « taigé aiffdépé » ou encore « aimdéhaire ». Caché derrière ce qui fut une réserve a grains quelques heures auparavant, il assista au massacre de son village.

Quand tout fut finir, il sortit de sa cachette et explora les décombres, partout il n’y avait que des ruines, des corps calcinés, démembrés, noyés, mutilés. Au fur à mesure qu’il découvrait ces horreurs il sentait des picotements dans son corps, puis des brulures, petit à petit il ressentait les tortures qui avaient été infligés aux villageois comme si elles étaient siennes.
Il vacilla et s’écroula au milieu du village.

Quand il reprit ses esprit, les douleurs étaient encore là, insupportables. Il referma les yeux et lutta de toutes ses forces pour les chasser de son corps, ces douleurs n’était pas les siennes et en souffrir était comme une trahison envers sa communauté.
Tout les sacrieurs qui vivaient ici s’étaient exilés pour en finir avec la souffrance éternelle qu’ils devaient à tout ces barbares du monde des Douzes, alors il les fit disparaitre.
« Chacun sa merde »
Néanmoins, s’il ne souffrirait pas pour eux, il décida de les venger ; découvrir qui était ces fous furieux capable d’un tel massacre.
Alors en fouillant les décombres des maisons il tomba sur un début de réponse : un badge bleu, orné de deux petites ailes blanches.
Il adressat quelques mots bien choisit aux cadavres qui jonchaient le village.
-Amis, fréres, sœurs, du plus profond de mon cœurs je….. Non, hum…voyons…qui qu’était ces affreux chevaliers je les… non toujours pas…La putain d’eux, jvais les défoncer !

« Bon, on fait plus solennel, mais ça ira »

Et il parti, plus loin qu’il n’était jamais allé à l’extérieur du village.

\HRP\ Donc voila, c'est décidé jvais développer l'histoire d'Anti, j'espère que j'arriverai à refaire des trucs sympa à l'écrit.
J'espère que ça vous plaira, distraira, fera passer du temps sans avoir l'impression d'en perdre.
J'ai essayé de limiter les fautes mais hésitez pas à m'en signaler si elles sont trop grosses
Et si dans un futur plus ou moins proche quelqu'un est motivé pour faire un RP collaboratif (rapport au fait que la Cosa est censé avoir un rapport avec le massacre du village, rapport qui reste à déterminer). /HRP/

Une pluie battante, le ciel est entièrement obscurcit par l’orage qui s’acharne depuis des jours sur Anti.

Trempé, gelé il arrive devant d’imposants remparts, il commence à les longer en espérant trouver quelqu’un pour l’accueillir et le réchauffer.
Au bout de plusieurs minutes il se retrouve face à une énorme porte :

TOC TOC TOC

Par une petite ouverture, un visage apparait :

-Kessessé ? Demande la porte
-Bonjour généreux gardien de la porte, je suis un voyageur transit de froid qui recherche l’hospitalité et….
-Casse toi, minable !
-Mais c’est que je….

Un autre visage apparait dans l’ouverture :

-T’as pas compris ? Dégage, on veut pas de pouilleux comme toi à Bonta, va voir à Astrub si on y est.
-Allons messieurs, si je reste dehors je vais finir par mourir, ou pire, par m’enrhumer.

Dans un lourd grincement la porte s’entre-ouvre, Anti croit avoir réussit à convaincre les portiers mais quand il tente de la franchir une hallebarde s’abat juste devant lui et il se retrouve nez à nez avec deux gros gardes en armures.

-Dit, minus, tu cherche vraiment les ennuis ou quoi ?

Alors qu’il s’apprête à nouveau à répondre, Anti reconnait sur leurs cuirasses l’emblème bleu orné de petites ailes blanches. Aussitôt une colére aveuglante s’empare de lui, il se jette sur les gardes, envoie des coups de pieds, de poings, de téte…il les frappe avec tout ce qui lui tombe sous la main. Il saute, roule, esquive, remonte à la charge sans cesse jusqu’à ce qu’un raclement de gorge le ramène à la raison.

« Bon, ils doivent avoir leur compte, j’entend leurs râles agonisants » pense t’il.

C’est en se retournant pour constater son massacre qu’il se rend compte que les gardes n’ont pas bougés, ils sourient même, seules des traces de doigts et de pieds poussiéreux sur leurs armures permettent de savoir qu’un combat vient de se dérouler à l’instant.

-Hé ben l’affreux, fallait le dire que tu cherchait la bagarre, lui dit un des gardes, hilare.

Aussitôt il assène un violent coup avec le manche de sa hallebarde qui fait rouler Anti sur plusieurs mètres. Etalé sur le dos il entend la porte claquer avec fracas, quand il se relève il cherche ses adversaires du regard mais il est seul.

« Les lâches, je commençait à être chaud moi… »

Il s’approche silencieusement de la porte et essaie de tirer pour l’ouvrir, sans succès. A l’intérieur il entend le bruit d’une poignée qu’on tourne, il se jette derrière un buisson et voit le visage d’un de ses agresseurs pointer dans l’ouverture.

-C’est encore lui ? Demande une voix derrière la porte
-Nan, ya personne, surement une bestiole…

Et la porte se referme.
Anti ramasse alors quelques graviers et un excrément frais de blop sur lequel il est tombé en se jetant dans le buisson, il en fait une sorte de pate qu’il introduit dans la serrure. Quand le mélange est bien sec il se recule et contemple son méfait :

-Voila, et bien fait pour vos gueules ! Crie t’il à l’adresse des gardes.

Du bruit se refait entendre de l’autre coté de la porte, les gardes jurent en essayant de forcer la porte en vain et Anti part vite en courant.

Il savait enfin qui avait massacré son village, malheureusement il ne pourrait pas tous les écraser au terme d’un combat spectaculaire, il lui fallait un plan. Et découvrir la raison du massacre, accessoirement.